


Autophagies


théâtre
(Histoires de bananes, riz, tomates, cacahuètes, palmiers. Et puis des fruits, du sucre, du chocolat)
Informations pratiques
durée 1h35
dès 14 ans
Salle Jean-Pierre Vernant
🍲 Pendant la représentation, partagez un mafé végétarien en compagnie de l'équipe artistique, préparé par le chef et comédien montreuillois Alexandre Bella Ola.
Horaires
du 3 au 7 avril
Du mer. au ven. à 20h, sam. 19h, dim. 12h et 19h
Tarifs
de 8 à 24 €
Avec humour et tendresse, Eva Doumbia nous embarque dans un étonnant voyage sur les traces des aliments et de leur provenance. Un périple qui s'achèvera autour d'un grand repas partagé.
Dès l’entrée en salle, les odeurs d’épices et de cuisine nous embarquent loin de l’Europe. Jouant elle-même le rôle de maîtresse de cérémonie dans cette « eucharistie documentaire », l’autrice et metteuse en scène, entourée d’un chef-comédien qui s'affaire aux fourneaux, d’un musicien, de deux comédiennes et d’un danseur, nous propose d’interroger la dimension politique de la nourriture. Sommes-nous bien d'ici quand nous avons été apporté·es ou modifié·es par une histoire faite de colonisation, d'exploitation et d'esclavagisme ? Un spectacle nourri de réflexions et de saveurs qui témoigne d’une histoire coloniale toujours à l’œuvre dans nos assiettes. Ne serait-il pas temps de changer durablement nos régimes alimentaires ?
Biographie
Eva Doumbia a grandi à Gonfreville l’Orcher (commune ouvrière dans la banlieue du Havre) d’une mère normande et d’un père malinké dans un milieu qui brasse ouvriers syndiqués, travailleurs immigrés, étudiants africains, instituteurs communistes. Sans doute cela constituera l’hybridité et la liberté de son travail, qui emprunte à la musique, littérature, danse, aux sciences sociales, à la cuisine ou à la coiffure. Après des études en Lettres modernes et théâtrales à l’Université de Provence, Eva Doumbia se forme à l’Unité Nomade de Formation à la mise en scène notamment auprès de Jacques Lassalle, Krystian Lupa et André Engel/Dominique Müller. Anges fêlées, son premier roman est publié chez Vents d’Ailleurs.
Elle propose également des événements pluridisciplinaires et afropéens : Africa Paris au Carreau du Temple (2015), Massilia Afropea (2016 et 2018) et Afropea Nomade dans le cadre de la Saison Africa2020 (2021).
Depuis septembre 2019 sa compagnie occupe le Théâtre des Bains Douches à Elbeuf.
Elle est artiste associée au Théâtre du Nord, CDN Lille-Tourcoing-Hauts de France depuis la nomination de David Bobée le 1er janvier 2021 à sa direction.
Distribution et production
textes Armand Gauz et Eva Doumbia
mise en scène Eva Doumbia
assistanat à la mise en scène Sophie Zanone et Karima El Kharraze
musique originale et chants Lionel Elian
cuisine Alexandre Bella Ola (restaurant Rio dos Camaraos)
chorégraphie Massidi Adiatou
Scénographie et costumes Sylvain Wavrant
création lumières Stéphane Babi Aubert
régie générale Loïc Jouanjan
régie lumière Yannick Brisset
vidéo Sandrine Reisdorffer
avec Alexandre Bella Ola, Bamoussa Diomande, Eva Doumbia, Lionel Elian Olga Mouak et Yuika Hokama
avec la voix de Fargass Assandé
images Charles Ouitin et Lionel Elian
son Cédric Moglia
collaboration artistique Fabien Aïssa Busetta
production La Part du Pauvre/Nana Triban
coproduction Théâtre du Nord, CDN Lille Tourcoing Hauts-de-France ; Théâtre du Point du jour, Lyon
avec le soutien de La Drac Normandie ; ville d’Elbeuf ; les Grandes Tables (Friche la Belle de Mai – Marseille) – Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques ; Consulat de France à la Nouvelle Orléans ; LSU (département Francophonie à Bâton Rouge, États-Unis) ; Ambassade de France aux États-Unis ; Commission Internationale du Théâtre Francophone ; FACE fondation ; Théâtre de la Joliette (Marseille)
avec l’aide de 64 Anis Gras-Le Lieu de l’autre (Arcueil) ; Fundamental Monodrama Festival (Luxembourg) ; Kumaso (Bamako) ; N’Soleh (Abidjan) ; Centre Social de la Savine (Marseille) ; Ateliers Médicis (Clichy-Montfermeil) ; Beauport-Guadeloupe ; la Chapelle du Verbe incarné (Avignon) et l'Entrepôt (Paris)
photos © Cie la Part du pauvre + © Argenis Apolinario


théâtre
Avec humour et tendresse, Eva Doumbia nous embarque dans un étonnant voyage sur les traces des aliments et de leur provenance. Un périple qui s'achèvera autour d'un grand repas partagé.
Dès l’entrée en salle, les odeurs d’épices et de cuisine nous embarquent loin de l’Europe. Jouant elle-même le rôle de maîtresse de cérémonie dans cette « eucharistie documentaire », l’autrice et metteuse en scène, entourée d’un chef-comédien qui s'affaire aux fourneaux, d’un musicien, de deux comédiennes et d’un danseur, nous propose d’interroger la dimension politique de la nourriture. Sommes-nous bien d'ici quand nous avons été apporté·es ou modifié·es par une histoire faite de colonisation, d'exploitation et d'esclavagisme ? Un spectacle nourri de réflexions et de saveurs qui témoigne d’une histoire coloniale toujours à l’œuvre dans nos assiettes. Ne serait-il pas temps de changer durablement nos régimes alimentaires ?
(Histoires de bananes, riz, tomates, cacahuètes, palmiers. Et puis des fruits, du sucre, du chocolat)
Informations pratiques
durée 1h35
dès 14 ans
Salle Jean-Pierre Vernant
🍲 Pendant la représentation, partagez un mafé végétarien en compagnie de l'équipe artistique, préparé par le chef et comédien montreuillois Alexandre Bella Ola.
Horaires
du 3 au 7 avril
Du mer. au ven. à 20h, sam. 19h, dim. 12h et 19h
Tarifs
de 8 à 24 €
Biographie
Eva Doumbia a grandi à Gonfreville l’Orcher (commune ouvrière dans la banlieue du Havre) d’une mère normande et d’un père malinké dans un milieu qui brasse ouvriers syndiqués, travailleurs immigrés, étudiants africains, instituteurs communistes. Sans doute cela constituera l’hybridité et la liberté de son travail, qui emprunte à la musique, littérature, danse, aux sciences sociales, à la cuisine ou à la coiffure. Après des études en Lettres modernes et théâtrales à l’Université de Provence, Eva Doumbia se forme à l’Unité Nomade de Formation à la mise en scène notamment auprès de Jacques Lassalle, Krystian Lupa et André Engel/Dominique Müller. Anges fêlées, son premier roman est publié chez Vents d’Ailleurs.
Elle propose également des événements pluridisciplinaires et afropéens : Africa Paris au Carreau du Temple (2015), Massilia Afropea (2016 et 2018) et Afropea Nomade dans le cadre de la Saison Africa2020 (2021).
Depuis septembre 2019 sa compagnie occupe le Théâtre des Bains Douches à Elbeuf.
Elle est artiste associée au Théâtre du Nord, CDN Lille-Tourcoing-Hauts de France depuis la nomination de David Bobée le 1er janvier 2021 à sa direction.
Distribution et production
textes Armand Gauz et Eva Doumbia
mise en scène Eva Doumbia
assistanat à la mise en scène Sophie Zanone et Karima El Kharraze
musique originale et chants Lionel Elian
cuisine Alexandre Bella Ola (restaurant Rio dos Camaraos)
chorégraphie Massidi Adiatou
Scénographie et costumes Sylvain Wavrant
création lumières Stéphane Babi Aubert
régie générale Loïc Jouanjan
régie lumière Yannick Brisset
vidéo Sandrine Reisdorffer
avec Alexandre Bella Ola, Bamoussa Diomande, Eva Doumbia, Lionel Elian Olga Mouak et Yuika Hokama
avec la voix de Fargass Assandé
images Charles Ouitin et Lionel Elian
son Cédric Moglia
collaboration artistique Fabien Aïssa Busetta
production La Part du Pauvre/Nana Triban
coproduction Théâtre du Nord, CDN Lille Tourcoing Hauts-de-France ; Théâtre du Point du jour, Lyon
avec le soutien de La Drac Normandie ; ville d’Elbeuf ; les Grandes Tables (Friche la Belle de Mai – Marseille) – Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques ; Consulat de France à la Nouvelle Orléans ; LSU (département Francophonie à Bâton Rouge, États-Unis) ; Ambassade de France aux États-Unis ; Commission Internationale du Théâtre Francophone ; FACE fondation ; Théâtre de la Joliette (Marseille)
avec l’aide de 64 Anis Gras-Le Lieu de l’autre (Arcueil) ; Fundamental Monodrama Festival (Luxembourg) ; Kumaso (Bamako) ; N’Soleh (Abidjan) ; Centre Social de la Savine (Marseille) ; Ateliers Médicis (Clichy-Montfermeil) ; Beauport-Guadeloupe ; la Chapelle du Verbe incarné (Avignon) et l'Entrepôt (Paris)
photos © Cie la Part du pauvre + © Argenis Apolinario