TUE, HAIS QUELQU'UN DE BIEN
20.10.2016 > 21.10.2016
Salle Maria Casarès
Théâtre
jeu 20 et ven 21 oct
à 21h
salle Maria Casarès
—
durée 1h00
Cette création s’appuie sur le tableau Le Jugement dernier de Jérôme Bosch. Le thème qui émerge le plus fortement de ce tableau est le fonctionnement de la conscience de l’individu dans un système de morale partagé par tous. Nous avons tendance à nous laisser guider dans la vie par des modèles de certitudes morales, et par des sentiments de culpabilité auxquels nous essayons d’échapper. Le concept de l’apocalypse nous offre la garantie qu’un monde viendra, meilleur, plus vrai, ou tout le mal aura été puni et éliminé, et qu’il existe un paradis pour les élus. Croire à l’apocalypse signifie croire que l’exercice de la justice n’est pas entièrement dans les mains des êtres humains.
Vivons-nous encore aujourd’hui avec la foi en un jugement dernier? Et si oui, pourquoi en avons-nous besoin? À quoi ressemble notre jugement dernier, mis en scène par chacun et pour soi-même?
—
Spectacles réalisés dans le cadre de la soutenance de Linda Duskova, formation doctorale SACRe / PSL (Paris Sciences et Lettres) Research University – CNSAD (Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique)
Das ist die Galerie et Tue, hais quelqu’un de bien sont deux spectacles créés par Linda Duskova dans le cadre de son projet de recherche intitulé Image et conscience : autour des enjeux de l’image fixe dans la création théâtrale et dirigé par Jean-Loup Rivière. Ces spectacles sont diffusés par la Cie Traverscène.
mise en scène Linda Dušková
dramaturgie, écriture Julien Daillère, Linda Dušková
jeu Julien Daillère, David Lelièvre, Mayya Sanbar
scénographie Juline Darde Gervais, Lara Hirzel
régie images Frédéric Pickering
régie générale François Rey
lumière Grégoire de Lafond, Simon Fritschi
concept Linda Dušková, Lara Hirzel
collaboration artistique et diffusion du spectacle Cie Traverscène
Théâtre
Cette création s’appuie sur le tableau Le Jugement dernier de Jérôme Bosch. Le thème qui émerge le plus fortement de ce tableau est le fonctionnement de la conscience de l’individu dans un système de morale partagé par tous. Nous avons tendance à nous laisser guider dans la vie par des modèles de certitudes morales, et par des sentiments de culpabilité auxquels nous essayons d’échapper. Le concept de l’apocalypse nous offre la garantie qu’un monde viendra, meilleur, plus vrai, ou tout le mal aura été puni et éliminé, et qu’il existe un paradis pour les élus. Croire à l’apocalypse signifie croire que l’exercice de la justice n’est pas entièrement dans les mains des êtres humains.
Vivons-nous encore aujourd’hui avec la foi en un jugement dernier? Et si oui, pourquoi en avons-nous besoin? À quoi ressemble notre jugement dernier, mis en scène par chacun et pour soi-même?
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Spectacles réalisés dans le cadre de la soutenance de Linda Duskova, formation doctorale SACRe / PSL (Paris Sciences et Lettres) Research University – CNSAD (Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique)
Das ist die Galerie et Tue, hais quelqu’un de bien sont deux spectacles créés par Linda Duskova dans le cadre de son projet de recherche intitulé Image et conscience : autour des enjeux de l’image fixe dans la création théâtrale et dirigé par Jean-Loup Rivière. Ces spectacles sont diffusés par la Cie Traverscène.
jeu 20 et ven 21 oct
à 21h
salle Maria Casarès
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durée 1h00
mise en scène Linda Dušková
dramaturgie, écriture Julien Daillère, Linda Dušková
jeu Julien Daillère, David Lelièvre, Mayya Sanbar
scénographie Juline Darde Gervais, Lara Hirzel
régie images Frédéric Pickering
régie générale François Rey
lumière Grégoire de Lafond, Simon Fritschi
concept Linda Dušková, Lara Hirzel
collaboration artistique et diffusion du spectacle Cie Traverscène