Banlieues Bleues Summer Camp

24.06.2022 > 01.07.2022
place Jean-Jaurès / Montreuil
Concert

Place Jean-Jaurès

accès libre

 

en coréalisation avec le festival Banlieues Bleues

VENDREDI 24 JUIN à 20H - GYEDU-BLAY AMBOLLEY & HIS SEKONDI BAND

Star du highlife dans son pays, l’autoproclamé « James Brown du Ghana » n’a rien perdu de sa capacité à faire danser. Yepa !

En France, il fut longtemps un secret dont seuls les amateurs connaissaient la valeur de la formule, un highlife pimenté de tous les ingrédients afro-américains. Grâce aux rééditions de disques longtemps intouchables, mais aussi à ses nouveaux albums, dont le formidable 11th Street, Sekondi (l’adresse où il est né), celui que l’on surnomme Ambo au Ghana, où il est vénéré, a remonté un groupe avec de jeunes, mais chevronnés musiciens de sa ville natale, et démontre avec classe – touches latines, swing évident, cuivres élégants, guitares funky – un groove intact, impérieux, qui commande la danse.

 

VENDREDI 1er JUILLLET à 20H - AMI YEREWOLO + DOPE SAINT-JUDE

AMI YEREWOLO

L’amazone du rap malien démontre avec une classe totale que le hip-hop africain n’a rien à envier à d’autres styles lorsqu’il s’écrit au féminin.

Si Yerewolo, son nom de scène, veut dire « fière de ses origines », on l’appelle un peu partout en Afrique « la voix libre de Bamako ». Car la première rappeuse du Mali n’a pas froid aux yeux, dénonçant dans ses textes en bambara le patriarcat, la condition de la femme et les conditions sociales, s’activant même à créer un festival, Le Mali a des rappeuses, pour servir de tremplin à ses sœurs. Militante, voire féministe ? Inutile de l’étiqueter, la musique d’Ami parle d’elle-même et fait corps avec le monde actuel ou tout ou presque est un combat, qu’elle mène avec un mix original et emballant de samples de ngoni, kora, tamani, et de beats énergiques trap et club-house. La classe, on vous dit !

 

DOPE SAINT-JUDE

La native de Cape-Town a bousculé les codes du hip hop sud-africain avec un rap percutant qui revendique l’égalité des classes, des races et des sexes.

A ses débuts, Dope Saint-Jude puisait son inspiration à la fois chez Tupac, Tracy Chapman et dans le mouvement Riot Grrrl. Elle s’est très vite imposée sur la bouillonnante scène rap alternative en Afrique-du-Sud, devenant aussi la marraine du hip hop intersectionnel. Son originalité, son éclectisme musical et sa présence scénique ont fait le reste, propulsant son rap énergique et militant sur les scènes du monde entier.


Concert

VENDREDI 24 JUIN à 20H - GYEDU-BLAY AMBOLLEY & HIS SEKONDI BAND

Star du highlife dans son pays, l’autoproclamé « James Brown du Ghana » n’a rien perdu de sa capacité à faire danser. Yepa !

En France, il fut longtemps un secret dont seuls les amateurs connaissaient la valeur de la formule, un highlife pimenté de tous les ingrédients afro-américains. Grâce aux rééditions de disques longtemps intouchables, mais aussi à ses nouveaux albums, dont le formidable 11th Street, Sekondi (l’adresse où il est né), celui que l’on surnomme Ambo au Ghana, où il est vénéré, a remonté un groupe avec de jeunes, mais chevronnés musiciens de sa ville natale, et démontre avec classe – touches latines, swing évident, cuivres élégants, guitares funky – un groove intact, impérieux, qui commande la danse.

 

VENDREDI 1er JUILLLET à 20H - AMI YEREWOLO + DOPE SAINT-JUDE

AMI YEREWOLO

L’amazone du rap malien démontre avec une classe totale que le hip-hop africain n’a rien à envier à d’autres styles lorsqu’il s’écrit au féminin.

Si Yerewolo, son nom de scène, veut dire « fière de ses origines », on l’appelle un peu partout en Afrique « la voix libre de Bamako ». Car la première rappeuse du Mali n’a pas froid aux yeux, dénonçant dans ses textes en bambara le patriarcat, la condition de la femme et les conditions sociales, s’activant même à créer un festival, Le Mali a des rappeuses, pour servir de tremplin à ses sœurs. Militante, voire féministe ? Inutile de l’étiqueter, la musique d’Ami parle d’elle-même et fait corps avec le monde actuel ou tout ou presque est un combat, qu’elle mène avec un mix original et emballant de samples de ngoni, kora, tamani, et de beats énergiques trap et club-house. La classe, on vous dit !

 

DOPE SAINT-JUDE

La native de Cape-Town a bousculé les codes du hip hop sud-africain avec un rap percutant qui revendique l’égalité des classes, des races et des sexes.

A ses débuts, Dope Saint-Jude puisait son inspiration à la fois chez Tupac, Tracy Chapman et dans le mouvement Riot Grrrl. Elle s’est très vite imposée sur la bouillonnante scène rap alternative en Afrique-du-Sud, devenant aussi la marraine du hip hop intersectionnel. Son originalité, son éclectisme musical et sa présence scénique ont fait le reste, propulsant son rap énergique et militant sur les scènes du monde entier.


Place Jean-Jaurès

accès libre

 

en coréalisation avec le festival Banlieues Bleues